Se réapproprier son corps grâce à la Slim Thérapie
Les personnes complexées diabolisent une partie de leur corps. Mais il est intéressant de constater que souvent quand on parle de ses imperfections, par exemple de son ventre trop rond à des proches, ces derniers ne partagent pas la même vision. En fait, ce complexe renvoie à une image de soi toute personnelle, construite à l’intérieur de soi.
Loin d’être en contact avec la réalité, cette vision subjective et difforme peut être présente chez n’importe qui.
Une estime de soi fragilisée
On perd confiance en soi. Les complexes se créent lorsqu’on focalise des pensées sur une partie de son corps et qu’on la juge disgracieuse. Ce mal-être peut aussi donner lieu à l’obésité ou des comportements addictifs comme des troubles alimentaires. Sans compter des phobies de toute nature. “La phobie a un rapport indirect avec le manque d’amour pour son corps. Elle est vécue comme une manière de se paralyser, de s’interdire”, précise le spécialiste.
Ce processus phobique devient rapidement un cercle vicieux. Plus on focalise son énergie et ses pensées sur une partie de son corps, plus on alimente notre manque de confiance et plus on déséquilibre notre rapport au monde.
Comment un défaut physique peut-il à ce point nous affecter? Le dédain pour une partie de notre corps masque une fragilité ancrée en nous et qui remonte à notre enfance. Notre corps fait office d’éponge de ce qu’on a vécu étant jeune. “Le corps garde tout en mémoire, tout ce qu’on a ressenti en étant enfant, analyse la thérapeute. Quand on n’aime pas une partie de son corps, c’est le symptôme qu’on a besoin d’exprimer quelque chose enfoui en nous. Cela peut être de la peur, de la colère, de la tristesse”….
Un sentiment de honte
Oser mettre en mots son mal-être, dire combien l’on se mésestime et plus précisément là où «le bât blesse» est l’axe central de la Slim Thérapie du Cabinet de Digitopuncture de Paris.
Avec la thérapeute, le patient revient sur son histoire familiale, les événements marquants de sa vie et comment ceux-ci ont pu entacher la vision qu’il a de lui-même aujourd’hui.
Le rejet d’une partie de son corps se manifeste souvent par un dialogue toxique. Ces petites phrases négatives incontrôlables nous convainquent que notre visage ou nos fesses par exemple sont moches et ne méritent pas d’être aimées.
Le manque d’amour pour une partie de son corps crée des peurs (peur d’être jugé, peur d’être rejeté, etc). Or quand on a peur, on cadenasse notre respiration par crainte de ce que ce complexe physique peut dévoiler sur nous. Un piège mental qui nous enferme petit à petit dans le déni et le refoulement.
Communiquer sur ses complexes
Quand on parle de ses complexes autour de soi, on prend conscience qu’on n’est pas seul à se trouver des défauts physiques. Extérioriser ce qui nous ronge permet de dédramatiser et de modifier le regard qu’on porte sur soi.
On peut parler de ce désamour pour une partie de son corps à son entourage à condition de choisir des personnes bienveillantes et qui nous aiment. On peut par exemple demander l’avis à un ami ce qu’il pense de nos cuisses, si on fait un complexe sur elles. On s’apercevra alors que sa perception diffère complètement de la nôtre et qu’il n’a jamais jugé nos cuisses disgracieuses.
Cet exercice demande du courage car il faut surpasser le sentiment de honte que ressentent souvent les personnes complexées. Le cabinet de Digitopuncture de Paris vous aide à surmonter ses épreuves et vous sentir libéré grâce à la Slim Thérapie